1 ère étape
Tricotage du fameux bonnet ou KABBOUS
Ce bonnet est réalisé avec 5 aiguilles. Selon qu’il sera en laine peignée ou en laine ordinaire la maille en sera plus ou moins souple et le poids plus ou moins lourd.
1 ère étape
Tricotage du fameux bonnet ou KABBOUS
Ce bonnet est réalisé avec 5 aiguilles. Selon qu’il sera en laine peignée ou en laine ordinaire la maille en sera plus ou moins souple et le poids plus ou moins lourd.
2ème étape
Eloukda et le nichen ( Tricotage du nichen)
3 ème étape
Telbid ( Foulage à l’usine d’El Batan)
La qualité de l’eau du bain, sa température, la concentration du savon seront d’un important apport sur la qualité du foulage et le feutrage de la laine .
4ème étape
Vient ensuite …le pied de l’homme car il s’agit bien de la fouleer au pieds les bonnets détrempés pour assouplir la laine et la feutrer suffisamant. Une fois cette opération terminée, il ne restera pratiquement plus trace du tricotage des mailles.
5 ème étape
Vient ensuite le chardon toujours renouvelé. Cette plante importée par les Andalous et prospérant à El Alia, joue un role essentiel dans la fabrication de la chéchia: elle lui donne son lustre et son velouté.
6ème étape
La tkoulib ou moulage, donne sa forme définitive à la chéchia encore humide du bain de teinture. Le petit bonnet blanc est devenu carmin et il ne lui manque que son gland passementerie
7 ème étape
Une dernière mise en beauté et un dernier petit coup… de chardon. Les chaouachis réputés n’ont jamais accepté de remplacer le chardon par la brosse de fer. La chéchia enfin achevée est prête à partir pour un dessin qui chante
8ème étape
L’artisanat de la chéchia faisait vivre en son age d’or des milliers de familles. Le petit bonnet tunisien faisait l’objet d’un fructueux commerce, on le réclamait en Afrique, mais dans tout l’Orient et jusqu’en Asie. Il est toujours aussi présent dans les souks
Palmarès :
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